Maria Mazzotta... La presse parle du nouvel album "Onde" !
Extraits presse pour la sortie du nouvel album “Onde” le 7 février 2025
« La voix de Maria Mazzotta c’est une force de la nature, c’est un feu que rien ne peut éteindre, on peut penser à Janis Joplin… Elle est en tournée en mars, ne la ratez surtout pas ! » Michka Assayas dans « Very Good Trip » (France Inter)
« Une chanson populaire aux accents post-rock, qui oscille entre montées de fièvre exutoire martelées par le tamburello et lentes complaintes brodées sur des cordes texturées.
Les intonations sauvages demeurent, dans sa voix viscérale qui s'aventure sur un terrain plus urbain sans perdre de sa fabuleuse expressivité. » Anne Berthod (Télérama TTT)
« L’électricité de la guitare, la sécheresse des percussions et la puissance vocale de la chanteuse donne à l’ensemble un magnétisme impressionnant. » Vincent Théval (RFI)
« J’ai commencé le chant en découvrant les musiques traditionnelles, qui m’apportaient une liberté d’improviser ou de faire participer le public que je ne trouvais pas dans le classique. Je me suis néanmoins rendu compte grâce aux archives que les voix que l’on entendait dans le Salento avaient quelque chose de cassé qui est pour moi très similaire à la distorsion de la guitare électrique. »
Il ne s’agit pas pour autant de « fusion », alchimie dangereuse, voire douteuse, souvent à l’œuvre dans les musiques dites « du monde ». Plutôt d’une autre manière de jouer la pizzica. La chanteuse a conservé l’emblématique tamburello, un grand tambourin. Aussi éloquent qu’original, Onde est entièrement chanté en salentin, à l’exception de l’italien pour Canto e sogno.
Onde signifie « vagues », « celles qui peuvent bercer, comme celles qui ont tout détruit après le tsunami ; le mouvement continu de la vie », précise-t-elle. Déclinée en berceuses comme en tornades, cette vibration reflète l’évolution de son identité sonore, sans qu’elle renonce à des convictions bien ancrées : « Pour moi, la musique traditionnelle est fonctionnelle et n’est pas liée à l’esthétique. Elle est sociale et contestataire. Dans le Salento, tout un répertoire existe pour ceux qui travaillaient la terre sous 40 degrés au soleil. Souffrant d’hyperventilation, ils chantaient fort pour oublier la fatigue. » Bruno Lesprit (Le Monde) Bruno Lesprit (Le Monde)
Retrouvez Maria Mazzotta au Consulat Voltaire à Paris (11ème) le samedi 15 mars 2025
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